Bois des Amourettes, Trou d’Eau Douce, Poudre d’Or, Petit Gamin, Grande Rosalie, Rivière Dragon, Sans Souci, Plaisance, Cachette, Sottise… À l’image de sa carte et de ses toponymes, l’île Maurice est une île poétique. Un tracé qui se suit du bout des rêves et s’explore comme un creuset d’ambiances, de fantasmes et d’aventures…
Pour colorer les cœurs, c’est une explosion de vert, jade, turquoise, blanc, émeraude, indigo, rouge : tonalités du lagon cerclé d’écume, des plages somnolant à l’infini, des chemins de ferraille sinuant entre les cases créoles ou les grandes maisons de planteur à la fois précaires et vaillantes, et toujours un peu passées, un peu mélancoliques… Une palette plurielle pour une île métissée, cosmopolite, tolérante, où la flèche de l’église s’élance aussi droite que le minaret de la mosquée et le toit polychrome du temple tamoul.
Dans les terres intérieures, par-delà les champs de canne, les anciens territoires de chasse sont des havres de chlorophylle où pratiquer le golf, le quad, le VTT, la randonnée, l’équitation, le canyoning… C’est ici une cascade de 150 mètres, là un curieux piton coiffé d’un monolithe, plus loin, des gorges luxuriantes ou des terres moutonnantes déclinant sept couleurs… Oui, Maurice est tout cela : un sésame pour un rêve d’ailleurs, tropical, culturel ou sportif ; la rencontre d’un peuple, d’un art de vivre ; un grand bain de nature, de lumières et de gentillesse… Un véritable petit coin de paradis !
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